Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
En octobre, le recours au chômage partiel diminue : 400 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois d’octobre (soit 2 % des salariés du privé).
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Le recours au chômage partiel se stabilise en septembre : 520 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois (soit 3 % des salariés du privé).
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
Le Centre d'Économie de la Sorbonne (CES) apporte un éclairage sur le recours à la formation pendant l’activité partielle depuis le début de la crise sanitaire.
Le Centre d'études et de recherches sur les qualifications (Céreq) interroge les conséquences de la crise sanitaire sur l’accès à la formation professionnelle, avec une attention particulière portée aux adaptations des pratiques dans le contexte de la crise.
Le recours au chômage partiel recule encore : 480 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au mois d’août 2021.
Les salariés concernés par le télétravail ne sont plus que 14 % à avoir télétravaillé tous les jours de la semaine (soit 3 % de l’ensemble des salariés).
Entre décembre 2020 et mars 2021, le nombre de saisonniers dans les zones de montagne diminue de 58 % par rapport à l’hiver précédent. En moyenne, près de 7 saisonniers sur 10 sont placés au moins une fois chaque mois en activité partielle.