Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 29 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
31 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
L’emploi intérimaire poursuit son recul à la fin du mois de février 2024 (-0,8 %, soit -5 900 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au mois de janvier (-0,4 %, soit -2 700 intérimaires en janvier 2024). Sur un an, il diminue de 6,1 %.
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L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
En France, dans les établissements de plus de 10 salariés du secteur privé non agricole, les conflits du travail prennent différentes formes, dont la grève est une figure plutôt rare.
En novembre, si l’activité se dégrade significativement avec le reconfinement (39 % de perte d’activité du fait de la crise sanitaire après 32 % en octobre), elle résiste toutefois mieux qu’au premier confinement (80 % en avril).
Après un recul historique en début d’année et un début de reprise au 2e trimestre, l’emploi intérimaire continue à se redresser au 3e trimestre 2020 (+22,8 %, soit +131 600 intérimaires, après +22,9 % soit +107 800 au trimestre précédent).
En septembre, la reprise peine à s’installer.
Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.