Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre : enquête trimestrielle
- 10 avril 2024
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
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L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
Au 4e trimestre 2023, 67 000 salariés seraient en activité partielle en moyenne chaque mois, après 51 000 au 3e trimestre 2023, soit une hausse de 33 % (non corrigée des variations saisonnières).
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
Effectifs et caractéristiques d’emploi, localisation, mixité, salaires : retrouvez sous forme interactive toutes les dernières données pour chacune des branches professionnelles. Les conventions collectives sont ici identifiées par le code IDCC et regroupées par Cris.
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).
Les métiers les plus concernés sont les caissiers, les agents d’entretien, les ouvriers du bâtiment, des industries de process et de la manutention.
23,5 % des personnes en emploi ont travaillé au moins un dimanche sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne en 2022. Cette part est en légère hausse par rapport à 2020 mais n'a pas retrouvé son niveau d'avant-crise.
Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.