Quels impacts de la crise sanitaire liée au Covid-19 sur le marché du travail ?
- 1 décembre 2022
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
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Quatre rapports d'études pour mieux comprendre les premiers effets de la crise sanitaire sur le marché du travail.
L'Institut des politiques publiques (IPP) s'intéresse au recours à l'activité partielle pendant la crise sanitaire : caractéristiques, déterminants du recours, conséquences sur les entreprises et leurs salariés...
Le Centre Maurice Halbwachs (CMH) montre comment les acteurs des relations professionnelles ont été les protagonistes d’une adaptation massive de l’organisation du travail à partir du premier confinement.
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Association de recherche et d'échanges en anthropologie et sociologie (Areas) a conduit un travail d’investigation sociologique auprès de MFR, qui dispensent des formations professionnelles continues, dans le domaine du “care”- secteur particulièrement impacté.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.
Les salariés concernés par le télétravail ne sont plus que 14 % à avoir télétravaillé tous les jours de la semaine (soit 3 % de l’ensemble des salariés).
En novembre, si l’activité se dégrade significativement avec le reconfinement (39 % de perte d’activité du fait de la crise sanitaire après 32 % en octobre), elle résiste toutefois mieux qu’au premier confinement (80 % en avril).