Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 26 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
42 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
L'enquête révèle des données clés sur la participation, l'intéressement, les plans d'épargne et l'actionnariat salarié. Elle éclaire sur l'épargne salariale, avec des détails sectoriels enrichissants pour la compréhension économique.
Cette enquête mesure annuellement les conditions d'emploi, l’impact du Smic, l’épargne salariale et les emplois vacants dans les entreprises de 1 à 9 salariés. Depuis 2018, le champ de l'enquête est étendu à toute la France hors Mayotte.
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
Effectifs et caractéristiques d’emploi, localisation, mixité, salaires : retrouvez sous forme interactive toutes les dernières données pour chacune des branches professionnelles. Les conventions collectives sont ici identifiées par le code IDCC et regroupées par Cris.
Données annuelles détaillées sur ces dispositifs de participation, d’intéressement et d’épargne salariale (PEE, Perco), dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur marchand non agricole, hors intérim et activités des ménages.
En 2021, 17,8 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective, soit 1,2 point de plus qu’en 2020.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En 2021, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour fait de grève diminue de 13 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 58 jours pour 1 000 salariés.