Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 26 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
29 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2023, 17,4 % des salariés hors apprentis en France (hors Mayotte) travaillent à temps partiel dans leur emploi principal. Le temps partiel concerne plus d'une femme sur quatre contre moins d'un homme sur dix.
Au 4e trimestre 2023, 297 800 fins de période d’essai ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (+2,7 % par rapport au trimestre précédent).
Au 4e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 371 000 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,3 % de moins qu’au trimestre précédent (après +0,1 % au 3e trimestre 2023).
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).
23,5 % des personnes en emploi ont travaillé au moins un dimanche sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne en 2022. Cette part est en légère hausse par rapport à 2020 mais n'a pas retrouvé son niveau d'avant-crise.
En 2021, 17,8 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective, soit 1,2 point de plus qu’en 2020.
Une datavisualisation pour connaître les postes à pourvoir par métier, au niveau national et dans chacune des régions, ainsi que la dynamique d'emploi par secteur d'activité, d'ici à 2030.
L’enquête Emplois francs vise à collecter des informations sur le recours des établissements à ce dispositif. Elle permettra de compléter les premiers travaux d’évaluation publiés en 2019.
En 2021, le nombre de journées individuelles non travaillées (JINT) pour fait de grève diminue de 13 % par rapport à l’année précédente, pour atteindre 58 jours pour 1 000 salariés.