Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
17 résultats
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
Les inégalités entre les femmes et les hommes sont un trait marquant du marché du travail : elles se traduisent par une moindre participation des femmes, des rémunérations inférieures à celles des hommes, ou encore des trajectoires professionnelles moins ascendantes.
4,8 millions de salariés du privé ont signé au moins un contrat court - un CDD ou une mission d’intérim d’au plus 31 jours - en 2019.
Boulangers, aides à domicile, conducteurs, caissiers... 4,6 millions de salariés du secteur privé ont encouru un risque de contamination durant la crise sanitaire en continuant d’apporter à la population les services indispensables à la vie quotidienne.
En France, hors professions médicales, ce sont 4,6 millions de salariés du secteur privé, appartenant à 17 professions, qui ont continué à travailler sur site durant la crise sanitaire pour continuer à apporter les services indispensables à la vie quotidienne.
Expérience, motivation, compétence, disponibilité... Quels critères de sélection pour les hommes et pour les femmes lors du recrutement ?
Hausse de 7 % de l'emploi en CDI ou CDD long chez les jeunes de 22 à 25 ans avec l'aide à l'embauches de jeunes (AEJ).
Une recruteuse embauche davantage de femmes qu’un recruteur (51 % contre 41 %).