Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Après un recul historique lors du 1er trimestre 2020, un rebond marqué au cours de l’année 2020 et un ralentissement début 2021, l’emploi intérimaire poursuit sa reprise au 3e trimestre 2021 (+1,6 %, soit +12 100 intérimaires).
Dans un contexte de diminution du nombre de médecins du travail, les visites de suivi des salariés du privé par les services de santé au travail sont devenues moins fréquentes.
En 2017, 12,6 % des ménages emploient une personne à domicile, soit un peu moins qu’en 2011 (13,2 %). Néanmoins de plus en plus de ménages déclarent le recours à ces services aux impôts.
En novembre, si l’activité se dégrade significativement avec le reconfinement (39 % de perte d’activité du fait de la crise sanitaire après 32 % en octobre), elle résiste toutefois mieux qu’au premier confinement (80 % en avril).
Fin septembre 2020, 17,1 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,9 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Après un recul historique en début d’année et un début de reprise au 2e trimestre, l’emploi intérimaire continue à se redresser au 3e trimestre 2020 (+22,8 %, soit +131 600 intérimaires, après +22,9 % soit +107 800 au trimestre précédent).
Cet article explore la complexité du lien entre la mobilité résidentielle et la croissance locale de l’emploi salarié privé.
Ce numéro spécial propose un éclairage sur les déclinaisons géographiques de la mobilité du travail, en tenant compte de ses ambiguïtés et de ses articulations avec les inégalités sociales.