Les organismes de services à la personne en 2021
- 30 avril 2024
- Dares Résultats N° 28
En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
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En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
En 2020, un organisme de services à la personne sur trois déclare avoir cessé totalement son activité au cours du premier confinement.
Consultez toutes les données de suivi des dispositifs consacrés à l’emploi, à la formation professionnelle et à l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
L’emploi intérimaire poursuit son recul à la fin du mois de février 2024 (-0,8 %, soit -5 900 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au mois de janvier (-0,4 %, soit -2 700 intérimaires en janvier 2024). Sur un an, il diminue de 6,1 %.
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
Un million de salariés travaillent en France dans le secteur des services à la personne en moyenne chaque semaine. Ils représentent 4 % de l’ensemble des salariés et jusqu’à 6 % dans certains départements du Sud-Ouest.
Au 3e trimestre 2023, le nombre de plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) validés et/ou homologués reste stable à 112 procédures. Celles-ci avalisent 9 000 ruptures de contrats, un nombre en baisse de 23 % sur le trimestre.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.