Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Entre 2010 et 2017, 340 000 personnes sont entrées en contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) chaque année.
Le contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) améliore très légèrement les chances de trouver un emploi. Trois ans après l’entrée en contrat aidé, 61 % des bénéficiaires sortis de contrat sont en emploi non aidé.
En octobre, le recours au chômage partiel diminue : 400 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois d’octobre (soit 2 % des salariés du privé).
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
L’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,3 % au 3e trimestre 2021.
Le recours au chômage partiel se stabilise en septembre : 520 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois (soit 3 % des salariés du privé).
En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
Le contrat starter est un contrat aidé dans le secteur marchand à destination des jeunes rencontrant des difficultés d’insertion professionnelle. Il a pour but, grâce à une aide financière à…