Le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022)
- 3 mai 2023
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
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L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En 2019, 39 000 établissements recourent toute l’année à des contrats courts (i. e. d’au plus 31 jours). Une partie de ces contrats pourraient être transformés en CDI ou CDD d’un an pour un volume équivalent à 235 000 emplois de 5 jours par semaine.
En 2019, 37 % des entreprises du secteur privé concluent 31,3 millions de contrats courts, c’est-à-dire des contrats d'au plus 31 jours (contrats à durée déterminée ou missions d'intérim). Ces contrats représentent 750 000 salariés en équivalent temps plein.
Sur les trente dernières années, la part des ménages sans emploi croît de façon quasi continue, alors que, jusqu’en 2008, la proportion de personnes sans emploi dans la population en âge de travailler diminue sous l’effet de la hausse de l’emploi féminin.
La diminution de la taille des ménages constitue le principal facteur d’augmentation de la part des ménages sans emploi : elle y contribue pour 1,3 point entre 1990 et 2001, 0,6 point entre 2001 et 2009 et 1,0 point entre 2009 et 2019.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
3,6 millions de personnes travaillent dans 1,25 million de TPE en 2021.
Pour l’ensemble des apprentis sortant de CAP, bac pro, BP et BTS, le taux d’emploi des diplômés est de 75 % contre 63 % pour les non diplômés.
La Dares et la Depp ont rapproché différentes sources administratives existantes pour suivre les parcours des jeunes en voie professionnelle et leur insertion dans l’emploi grâce à de nouvelles données, plus fiables et plus complètes.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.