Les organismes de services à la personne en 2021
- 30 avril 2024
- Dares Résultats N° 28
En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
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En 2021, l’activité des organismes de services à la personne se redresse, sans pour autant retrouver son niveau d’avant-crise sanitaire.
Il vise à identifier des travaux de recherche potentiels sur l’évaluation des différents aspects de la réforme, dans la perspective du lancement d’un appel à projet de recherches.
Un million de salariés travaillent en France dans le secteur des services à la personne en moyenne chaque semaine. Ils représentent 4 % de l’ensemble des salariés et jusqu’à 6 % dans certains départements du Sud-Ouest.
Un appel à projets de recherche visant à réaliser des travaux d’évaluation qualitative de l’expérimentation Territoires Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD), qui permet à des personnes éloignées de l’emploi d'être embauchées en contrat à durée indéterminée par des entreprises créées de façon ad hoc.
L’enquête vise à connaitre les motifs réels de sortie de ces personnes, et en cas de sortie pour reprise d’emploi, décrire la nature de l’emploi retrouvé.
Fin juin 2021, du fait de la poursuite de la crise sanitaire et des mesures de prolongation automatique des droits à l’Assurance chômage, le nombre de demandeurs d’emploi indemnisables atteint le pic de 4,7 millions, ce qui représente 69 % des inscrits à Pôle emploi.
Deux appels à projets de recherche visant à éclairer la compréhension de la réforme et ses effets sur le retour à l’emploi, la qualité de l’emploi retrouvé ou le niveau de vie des demandeurs d’emploi.
De début 2017 à mi-2019, le nombre de personnes indemnisables est resté stable autour de 4,3 millions. Il baisse ensuite jusqu’à 4,2 millions en février 2020. Avec la crise sanitaire, il remonte nettement, pour atteindre à 4,6 millions.
60 % des entrants en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) mi-2018 ont accédé à un emploi dans les 18 mois suivant leur adhésion au dispositif, contre 54 % de ceux qui en avaient bénéficié trois ans plus tôt.