Les préretraités dans l'enquête Emploi depuis 2014
- 13 mars 2024
- Autres publications
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
37 résultats
Cette note présente des résultats exploratoires autour des dispositifs de préretraite tels qu’ils sont déclarés dans l’enquête Emploi.
En moyenne entre 2018 et 2021, à l’issue d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE), 63 % des salariés concernés sont licenciés et 27 % optent pour un départ volontaire, tandis que les salariés restants sont reclassés en interne au sein de l’entreprise ou de son groupe sans rupture de contrat.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Au 1er semestre 2022, environ 70 % des licenciements pour faute grave ou lourde dans le secteur privé sont motivés par un abandon de poste. Cela représente 123 000 salariés, dont 116 000 en CDI.
L’introduction de la Garantie Jeunes conduirait avant tout à augmenter les chances d’obtenir un contrat à durée limitée, qu’il s’agisse d’un CDD ou d’un contrat d’intérim.
Les femmes et les hommes salariés ne sont pas confrontés aux mêmes conditions de travail. La Dares a apporté son expertise à la publication « Femmes et hommes, l’égalité en question » (Insee Références, 2022).
La Dares a lancé, sous l’égide du Comité Scientifique en charge de l’évaluation du Plan d’Investissement dans les compétences, une évaluation qualitative du dispositif Prépa Compétences.
60 % des entrants en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) mi-2018 ont accédé à un emploi dans les 18 mois suivant leur adhésion au dispositif, contre 54 % de ceux qui en avaient bénéficié trois ans plus tôt.
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.