Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
24 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
Entre 2010 et 2017, 340 000 personnes sont entrées en contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) chaque année.
Le contrat unique d’insertion – contrat d’accompagnement dans l’emploi (CUI-CAE) améliore très légèrement les chances de trouver un emploi. Trois ans après l’entrée en contrat aidé, 61 % des bénéficiaires sortis de contrat sont en emploi non aidé.
En 2020, les entrées en contrats aidés continuent de diminuer mais sont davantage ciblées sur les jeunes dans le cadre du plan #1jeune1solution.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.
Les dépenses en faveur de l’emploi sont en légère hausse entre 2017 et 2019 (+0,7 % en euros constants), pour atteindre 144,1 milliards d’euros (soit 5,9 points de PIB).
Depuis le début de la crise sanitaire, 1 050 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) ont été initiés prévoyant 106 500 ruptures de contrats (contre 2 647 PSE notifiés durant la crise de 2008-2009).
Le nombre d’inscriptions en formations des demandeurs d’emploi reste très élevé aux mois d’avril et de mai : 1,6 fois supérieur à celui enregistré à la même période en 2019 et 5,0 fois plus important qu’en 2020, au moment du premier confinement.
Boulangers, aides à domicile, conducteurs, caissiers... 4,6 millions de salariés du secteur privé ont encouru un risque de contamination durant la crise sanitaire en continuant d’apporter à la population les services indispensables à la vie quotidienne.