Open space : quels salariés ? Quelles conditions de travail ?
- 7 décembre 2023
Deux salariés de bureau sur cinq travaillent en open space. Leurs conditions de travail sont globalement moins bonnes que celles des travailleurs en bureau classique.
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Deux salariés de bureau sur cinq travaillent en open space. Leurs conditions de travail sont globalement moins bonnes que celles des travailleurs en bureau classique.
3,2 millions de salariés travaillent en open space en France en 2019. Leurs conditions de travail sont globalement moins bonnes que celles des travailleurs en bureau classique. Ils sont davantage exposés au bruit et à la chaleur.
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
En 2022, 36 % des personnes qui travaillent ont un motif d’insatisfaction vis-à-vis de leur emploi : soit elles souhaitent en changer, soit elles voudraient modifier leur durée de travail, soit elles sont en contrat temporaire sans l’avoir choisi.
À l'occasion de ses 30 ans, la Dares a convié chercheurs et partenaires à repenser les grandes transformations du marché du travail et esquisser des perspectives. Consultez le replay des échanges !
Les 20 projets étudiés par Amnyos et Orseu-Itinere sont situés dans 8 régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Bourgogne-Franche Comté, Grand Est, Haut de France, Ile-de-France, Martinique, Nouvelle Aquitaine et Pays de la Loire) et trois d’entre eux se placent à l’échelle nationale.
121 000 contrats de professionnalisation ont commencé en 2022 (stable par rapport à 2021). Consultez le profil des contrats de professionnalisation et leurs bénéficiaires de 2004 à 2022.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.