Formation employeur - annuelle (2023)
- 4 avril 2024
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
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Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
En 2019, moins de la moitié des établissements ont un document unique d’évaluation des risques professionnels (DUERP) à jour. Le DUERP ainsi que les mesures de prévention sont plus fréquents dans les secteurs d’activité où les salariés sont le plus exposés.
L’emploi intérimaire poursuit son recul au 4e trimestre 2023 (-1,7 %, soit -13 000 intérimaires), après une baisse d'ampleur similaire au 3e trimestre (-2,0 %, soit -15 800 intérimaires au 3e trimestre 2023). Sur un an, il diminue de 6,6 %.
Au 3e trimestre 2023, en France métropolitaine, 6 386 300 contrats de travail sont signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), soit 0,1 % de plus qu’au trimestre précédent (après −1,0 % au 2e trimestre 2023).
Au 3e trimestre 2023, les fins de CDI s’établissent à 22 % au-dessus de leur niveau d’avant-crise dans les Ehpad privés, 15 % pour les hôpitaux privés et 18 % dans le secteur privé pris dans son ensemble.
Sur l’ensemble de l’année 2022, hors transport routier, 223 300 salariés sont détachés au moins une fois en France par des entreprises étrangères établies à l’étranger et effectuent 646 900 détachements.
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
Comment a évolué la proportion de personnes salariées qui portent des charges lourdes depuis les années 1980 ? Qui utilise l’informatique et comment cela a-t-il évolué ? Quelles sont les personnes qui doivent cacher leurs émotions dans leur travail ?
L’emploi intérimaire recule de nouveau au 3e trimestre 2023 (-2,1 %, soit -16 300 intérimaires), après une baisse moins marquée au 2e trimestre (-0,9 %, soit -6 900 intérimaires) et une baisse de même ampleur au 1er trimestre (-2,6 %, soit -21 400). Sur un an, il est en baisse de 5,0 %.
En 2022, 10,8 % des personnes en emploi travaillent au moins une fois de nuit sur une période de quatre semaines consécutives, en moyenne sur l'année. Cette part est en hausse par rapport à 2021 (+0,8 point) mais ne retrouve pas son niveau datant d’avant la crise sanitaire liée au Covid-19 (11,9 % en 2019).