La formation des personnes en recherche d’emploi
- Du 27 juillet 2020 au 30 octobre 2020
13 résultats
Afin de recueillir des informations relatives à l’impact de la crise sanitaire sur les structures de l’insertion par l’activité économique (SIAE), la Dares a réalisé du 22 avril au 4 mai une enquête flash auprès des structures de l’insertion par l’activité économique (IAE).
Informations relatives aux organismes de formation et leur activité : financement, type de public formé, spécialités des formations, pratiques de sous-traitance.
Quel fut l’impact de la crise sanitaire sur les SIAE et plus précisément, leurs activités, les salariés en insertion ?
Fin 2018, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 132 300 salariés en insertion, un nombre en baisse de 4,7 % par rapport à 2017.
Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
Les entreprises d’insertion se doivent de concilier deux logiques distinctes : porter un projet social, qui engendre des contraintes et des surcoûts, et assurer leur viabilité économique.
Les femmes ont quatre fois plus de chances de connaître une insertion en CDI à temps partiel à l’issue de l’IAE.
Fin 2017, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 136 000 salariés en insertion, un nombre en hausse de 3 % par rapport à 2016.
Ces donnes présentent le nombre de jeunes de moins de 26 ans présents au 31 décembre de chaque année, depuis 1974, dans les différents contrats aidés (apprentissage, contrats de professionnalisation, contrats de qualification, CUI-CIE, emplois d'avenir marchands etc.).