Les contrats d'aide à l'emploi en 2013
- 5 décembre 2014
- Dares Analyses N°093
538 000 contrats aidés ont débuté en 2013 dont 345 000 nouvelles embauches et 193 000 reconductions de contrats.
11 résultats
538 000 contrats aidés ont débuté en 2013 dont 345 000 nouvelles embauches et 193 000 reconductions de contrats.
Entre novembre 2012 et décembre 2013, 91 000 emplois d’avenir ont été prescrits, quasi exclusivement par les missions locales.
L’objectif de cette enquête était de compléter les données disponibles dans les fichiers administratifs pour analyser les trajectoires professionnelles des populations enquêtées et mesurer l’impact du passage en contrats aidés sur celles-ci, ainsi que sur leurs conditions de vie.
Le nouvel accompagnement à la création ou la reprise d’entreprise (Nacre) a été introduit, en 2009, pour permettre à des personnes sans emploi ou rencontrant des difficultés pour s’insérer durablement dans l’emploi, de créer ou de reprendre une entreprise.
En 2008, près de 123000 chômeurs ou allocataires de minima sociaux ont créé ou repris environ 115000 entreprises en bénéficiant de l’aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprise (ACCRE).
L’Aide aux chômeurs créateurs ou repreneurs d’entreprises (Accre), dispositif quasi trentenaire de la politique d’emploi, n’est pas utilisée en Ile-de France avec la même ampleur que dans les autres régions.
L'enquête permet de mieux comprendre le passage en dispositif et les modalités d’accompagnement et de décrire la trajectoire professionnelle des signataires et leurs caractéristiques sociodémographiques.
Cette enquête visait à comprendre le rôle de l’Accre dans le processus de retour à l’emploi des demandeurs d’emploi et l’accompagnement dont ils ont bénéficié.
L’enquête visait à retracer les trajectoires professionnelles des personnes passées par des dispositifs de la politique de l’emploi à la fin des années 90 et d'évaluer l'efficacité des contrats aidés ou stages de formation.
L’analyse des réponses jusqu’à mars 2003 montre que le CIE est efficace du point de vue du retour à l’emploi et de l’amélioration du niveau de vie, alors que les CES et les SIFE n’améliorent pas la situation des bénéficiaires par rapport aux trajectoires des témoins.