Les mouvements de main-d'œuvre au 4e trimestre 2005
- 10 novembre 2006
- Dares Indicateurs N°46.3
Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
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Au quatrième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim se stabilise dans les établissements d’au moins dix salariés.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au deuxième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim repart à la hausse dans les établissements de plus de dix salariés.
En 2003, dans le secteur concurrentiel, près de 100 000 établissements de 20 salariés et plus étaient assujettis à la déclaration obligatoire d’emploi des travailleurs handicapés.
Au premier trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim fléchit dans les trois grands secteurs d’activité.
Les établissements de 50 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont enregistré plus d'entrées que de sorties au second trimestre 1995. Globalement, l'importance des embauches sur contrat à durée déterminée est comparable à celle du premier trimestre.
Au deuxième trimestre 1995comme au premier, la différence des volumes de recrutement et de sortie fait apparaître une importante création nette d'emplois dans les petits établissements de l'industrie et du tertiaire.
Chaque année en moyenne au cours de la période 1985-1994, les effectifs des établissements de plus de 50 salariés ont diminué d'environ 60 000. Ceci résulte, chaque année, de la création par ces établissements d'environ 180 000 emplois tandis qu'ils en suppriment 240 000.
Depuis le quatrième trimestre 1993, l'enquête trimestrielle de la DARES sur les mouvements de main-d'œuvre dans les établissements de 10 à 49 salariés (EMMO) fait apparaître davantage d'entrées que de sorties.
Alors que, pendant quatre ans, les grands établissements avaient perdu des emplois, ils en créent pour le deuxième trimestre consécutif. Au premier trimestre 1995, les effectifs progressent de 0,3 %, après 0,1 % le trimestre précédent.