Conjoncture de l'emploi et du chômage au 2e trimestre 2011
- 5 octobre 2011
- Dares Analyses N°76
L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
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L’activité économique en France a stagné au 2ème trimestre, après avoir augmenté de 0,9 % en variation trimestrielle au trimestre précédent.
En 2009, 57,2 % des salariés du secteur marchand non agricole, soit 8,8 millions de salariés, ont eu accès à au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale.
L’activité économique a accéléré au 1er trimestre (+0,9% en variation trimestrielle, après +0,3 % au trimestre précédent). L’emploi salarié marchand non agricole a continué sa progression : +58 200 postes créés au 1er trimestre 2011, après +48 300 postes au trimestre précédent.
Le nombre d’heures supplémentaires augmente sur un an dans les entreprises de toutes tailles et plus fortement dans les entreprises de 500 salariés ou plus.
L’activité économique a accéléré au 4e trimestre (+0,4 % en variation trimestrielle, après +0,2 % au trimestre précédent).
12,7 milliards d’euros ont été distribués en 2004 au titre de la participation, de l’intéressement et de l’abondement à un plan d’épargne entreprise.
Un sur deux travaille dans une petite entreprise, un sur quatre gagne plus de 1,3 SMIC horaire grâce à des compléments de salaire.
Les résultats de l'année 1991 sont peu différents de ceux des années précédentes. La proportion de primes dans la rémunération brute globale est voisine pour les différentes catégories socioprofessionnelles. Elle s'élève en moyenne à 14,5 %.
Après plusieurs années de forte diffusion des accords d'intéressement, un salarié sur six était concerné en 1990. La prime moyenne par bénéficiaire était de 4 000 F. Les premières estimations pour 1991 indiquent une baisse du nombre d'accords en vigueur.
Entre 1986 et 1990, le nombre d'entreprises pratiquant l'intéressement est passé de 2 160 à 10 700.