Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 26 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
35 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
Le présent appel à projets de recherche (APR) vise à promouvoir la réalisation de recherches sur les relations professionnelles en entreprise, à partir de l’enquête Reponse 2023.
Si les salariés ont des attitudes plutôt positives à l’égard des syndicats, une proportion croissante d’entre eux ne s'exprime pas.
Cet article interroge les prises que se donnent (ou non) les salarié·es pour négocier les salaires avec leurs employeur·ses, et si le fait de se mobiliser influe sur l’issue des négociations.
En 2020, 16,6 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective à leur niveau, à celui d’un de leurs établissements, de l’unité économique et sociale ou du groupe dont elles relèvent, soit 0,6 point de moins qu’en 2019.
En 2020, pour faire face à la crise, 92 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont pris des mesures de prévention sanitaire et 78 % des mesures relatives à l’activité partielle
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Paris School of Economics (PSE) observe empiriquement comment la discrimination se concentre sur certains salariés qui sont en position d’exercer un contrepouvoir légal au sein des entreprises, et tout particulièrement comment elle s’exerce à l’encontre des délégués syndicaux.