Le poids du temps partiel dans les trajectoires professionnelles des femmes
- 9 août 2007
- Document d'études N°127
En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
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En 1985 une femme active occupée sur cinq déclarait travailler à temps partiel, contre une sur trois en 2005.
En moyenne, le salaire horaire total des femmes est inférieur de 19 % à celui des hommes en 2002.
En 2004, dans le secteur concurrentiel, la rémunération mensuelle brute d’un salarié à temps complet s’élevait en moyenne à 2 440 euros, soit 2,7 % de plus qu’en 2003.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Parmi les personnes qui exercent une activité professionnelle, près de quatre sur dix trouvent que leur travail rend difficile l’organisation de leur vie de famille.
Banques, Plasturgie, Bureaux d'études techniques...es femmes sont moins bien classées que leurs collègues masculins dans les grilles de classification des conventions collectives.
Environ 780 000 jeunes sortent du système éducatif chaque année depuis 1997. Ce nombre important de sortants est lié à l'arrêt de l'allongement des études.
Dans l'enquête Emploi du temps, 17 % des salariés sont à temps partiel, mais la proportion est de 30 % pour les femmes et de 5 % pour les bommes. Parmi les temps partiels, les femmes représentent donc une très forte majorité (85 %).
Les effectifs salariés croissent de 0,7 % au cours du deuxième trimestre 2000 dans les secteurs concurrentiels. Sur un an, la progression est de 3,3%.
Entre octobre 1998, date de lancement du programme Trace, et décembre 1999, près de 42 000 jeunes ont intégré le dispositif.