Les ruptures conventionnelles individuelles en 2020
- 30 juillet 2021
- Dares Résultats N°43
En 2020, leur nombre diminue pour la première fois depuis 2013 (-3,6 %), dans un contexte de crise sanitaire.
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En 2020, leur nombre diminue pour la première fois depuis 2013 (-3,6 %), dans un contexte de crise sanitaire.
Les motifs de fin de CDI sont affectés par la crise sanitaire de manière différenciée suivant que la rupture est à l’initiative du salarié ou de l’employeur.
4 841 900 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé au 1er trimestre 2021 en France métropolitaine.
60 % des entrants en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) mi-2018 ont accédé à un emploi dans les 18 mois suivant leur adhésion au dispositif, contre 54 % de ceux qui en avaient bénéficié trois ans plus tôt.
En 2020, 51,9 % des accords traitant des conditions de travail ratifiés abordent la question du télétravail.
Depuis le début de la crise sanitaire, 1 050 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) ont été initiés prévoyant 106 500 ruptures de contrats (contre 2 647 PSE notifiés durant la crise de 2008-2009).
Parmi les motifs de rupture de CDI, les fins de période d’essai réagissent très rapidement à la situation sanitaire et à la mise en place du confinement.
5 656 600 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs) au 1er trimestre 2020, en France métropolitaine.
Tous secteurs confondus, en 2019, 19 % des CDI sont rompus durant la période d’essai. Ce motif de rupture est moins fréquent dans l’industrie et la construction (respectivement 12% et 13% des fins de CDI) que dans le tertiaire (20%).
La prise en compte de l’intérim met en évidence un recours aux contrats temporaires assez homogène entre les principaux secteurs d’activité. En 2019, leur part dans les embauches y compris intérim est comprise entre 90% et 95% dans une très grande majorité d’entre eux.