L'emploi intérimaire
- 10 décembre 2023
Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
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Depuis mai 2018, les données relatives à l'emploi intérimaire sont obtenues via la Déclaration sociale nominative (DSN).
L’emploi intérimaire rebondit au 3e trimestre 2022 (+1,9 %, soit +14 900 intérimaires), après deux trimestres consécutifs de baisse (-2,3 %, soit -18 700 intérimaires au 2e trimestre 2022 et -1,9 %, soit -15 900 intérimaires au 1er trimestre).
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
La Dares et l’Association Française des Managers de la Diversité (AFMD) ont organisé une webconférence pour rendre compte de la mise en œuvre de l’Index de l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes trois ans après son entrée en vigueur.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Après un recul historique lors du 1er trimestre 2020, un rebond marqué au cours de l’année 2020 et un ralentissement début 2021, l’emploi intérimaire poursuit sa reprise au 3e trimestre 2021 (+1,6 %, soit +12 100 intérimaires).
En novembre, si l’activité se dégrade significativement avec le reconfinement (39 % de perte d’activité du fait de la crise sanitaire après 32 % en octobre), elle résiste toutefois mieux qu’au premier confinement (80 % en avril).
Fin septembre 2020, 17,1 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,9 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Après un recul historique en début d’année et un début de reprise au 2e trimestre, l’emploi intérimaire continue à se redresser au 3e trimestre 2020 (+22,8 %, soit +131 600 intérimaires, après +22,9 % soit +107 800 au trimestre précédent).
Cet article propose d’étudier l’évolution de la mobilité domicile-travail des actifs lyonnais depuis vingt ans (distance domicile-travail parcourue et usage de la voiture pour aller au travail) et de déterminer si l’évolution des indicateurs de mobilité est davantage imputable à une modification de comportements des actifs ou à un changement structurel des caractéristiques de ces derniers.