Les licenciements de CDI pour faute grave ou lourde refluent depuis l'été 2022
- 31 octobre 2023
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Les licenciements de CDI pour faute grave ou lourde en baisse début 2023.
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Les licenciements de CDI pour faute grave ou lourde en baisse début 2023.
Le colloque « Travail de plateforme et usages de la protection sociale » s’est tenu le 4 octobre 2022. Cette note en restitue les principaux enseignements.
L’usage des CDD de moins d’un mois dépend de la période de l’année.
En 2021, 38,9 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole, représentant 79,5 % des salariés du champ, sont couvertes par au moins une instance représentative du personnel (-2,5 points par rapport à 2020).
En 2021, dans un contexte économique encore marqué par la crise sanitaire, 610 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) sont mis en oeuvre.
Un taux de démissions de CDI toujours élevé dans l’hébergement-restauration, et en nette hausse relative dans l’industrie, le tertiaire non marchand et le commerce.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Au 1er semestre 2022, environ 70 % des licenciements pour faute grave ou lourde dans le secteur privé sont motivés par un abandon de poste. Cela représente 123 000 salariés, dont 116 000 en CDI.
En 2021, 1,6 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 21 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente de 0,4 point par rapport à 2020.
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à une organisation syndicale, soit 0,9 point de moins qu’en 2013.