Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
En juin 2021, le recours à l’activité partielle est au plus bas depuis septembre 2020 (1,3 million de salariés) et le télétravail poursuit sa baisse.
En 2020, le nombre de contrats d’apprentissage atteindrait 525 600, en augmentation de plus de 40 % par rapport à l’année précédente.
71 % des emplois d’avenir ont eu lieu dans le secteur non marchand, principalement dans des structures de petite taille.
Quatre ans après leur entrée en dispositif la probabilité d’être en emploi des jeunes sans diplôme passés par un emploi d’avenir est en moyenne de 9 points de pourcentage supérieure à ce qu’elle aurait été sans le passage par ce dispositif.
En novembre, si l’activité se dégrade significativement avec le reconfinement (39 % de perte d’activité du fait de la crise sanitaire après 32 % en octobre), elle résiste toutefois mieux qu’au premier confinement (80 % en avril).
Le comité scientifique Plan d’investissement dans les compétences (PIC) lance un appel à projet de recherche sur l’évaluation des programmes 100% inclusion.
La quatrième édition de l’enquête Acemo spéciale Covid, réalisée par la Dares avec l’appui de l’Insee, a interrogé les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole entre le 1er et le 13 juillet 2020, sur leur situation en juin.