Le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022)
- 3 mai 2023
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
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L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
Pour l’ensemble des apprentis sortant de CAP, bac pro, BP et BTS, le taux d’emploi des diplômés est de 75 % contre 63 % pour les non diplômés.
La Dares et la Depp ont rapproché différentes sources administratives existantes pour suivre les parcours des jeunes en voie professionnelle et leur insertion dans l’emploi grâce à de nouvelles données, plus fiables et plus complètes.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Quand un établissement du secteur privé non agricole est en situation de sous-traitance pour un donneur d’ordres, ses salariés sont davantage exposés à certains risques physiques et organisationnels.
Ce sont plus souvent les établissements de taille moyenne (20 à 199 salariés) qui sont preneurs d'ordres.
Au 3e trimestre 2022, la productivité du travail par tête des branches marchandes non-agricoles se situe 6,4 % en deçà de sa tendance prévalant avant la crise sanitaire liée au Covid-19.
La présente étude analyse 74 conditions de travail des femmes et des hommes salariés issus de 88 professions. Elle rend compte de la plus forte exposition des hommes à la pénibilité physique et des femmes aux risques psychosociaux.