Le contrat de professionnalisation en 2021
- 1 septembre 2022
- Dares Résultats N°43
En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
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En 2021, les entrées en contrat de professionnalisation s’établissent à 120 600 et augmentent pour la première fois depuis 2019 (+7 % sur un an).
En 2018, les entreprises privées, toutes tailles confondues, versent aux organismes paritaires collecteurs agréés (Opca) 6,8 Md€ pour la formation des salariés.
Garantie jeune, insertion par l'activité économique, parcours emploi compétences... 1,8 million d'entrées sont comptées dans ces dispositifs entre mi-2020 et mi-2021, soit une hausse de 41 % sur un an.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
Une personne en recherche d’emploi sur 10 inscrites en formation professionnelle en 2019 l’a abandonnée avant son terme.
Six mois après la fin d’un contrat de professionnalisation entre 2017 et 2019, 75 % des personnes sont en emploi et 47 % en contrat durable (CDI, CDD de plus de six mois ou titulaire de la fonction publique) non aidé.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Association de recherche et d'échanges en anthropologie et sociologie (Areas) a conduit un travail d’investigation sociologique auprès de MFR, qui dispensent des formations professionnelles continues, dans le domaine du “care”- secteur particulièrement impacté.
Le Centre lillois d'études et de recherches sociologiques et économiques (Clersé) questionne le rôle que jouent les compétences et les moyens de les acquérir pendant la crise sanitaire.
Le Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) observe dans quelle mesure la formation pourrait-elle être un moyen d’amortir les conséquences de la crise sanitaire dans le secteur du tourisme.