Former les demandeurs d'emploi à se former
- 17 décembre 2021
- Document d'études N°256
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
17 résultats
Cette étude propose une évaluation de l’impact du dispositif "Prépa compétences" sur l’entrée en formation et l’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi.
Pour une majorité des personnes en recherche d’emploi ayant suivi une formation en 2019, cette dernière a été l’occasion d’acquérir non seulement des compétences techniques spécialisées, mais également des compétences plus transversales.
Parmi les apprentis de niveau CAP à BTS en dernière année d’un cycle d’études professionnelles en 2019-2020, 38 % sont toujours en formation l’année scolaire suivante. Cette proportion est en hausse de 4 points par rapport à la génération précédente inscrite en 2018-2019.
En 2017, 12,6 % des ménages emploient une personne à domicile, soit un peu moins qu’en 2011 (13,2 %). Néanmoins de plus en plus de ménages déclarent le recours à ces services aux impôts.
Une personne en recherche d’emploi sur 10 inscrites en formation professionnelle en 2019 l’a abandonnée avant son terme.
En 2020, 984 000 formations sont suivies dans le cadre du compte personnel de formation (CPF) contre 517 000 un an auparavant. Cette forte hausse s’explique par l’ouverture fin novembre 2019 du « parcours achat direct » (PAD).
Un modèle de microsimulation visant à obtenir une projection des dépenses de formations financées par le CPF (hors fonction publique) a été développé par la Dares en collaboration avec la Caisse des dépôts.
La construction d’indicateurs de valeur ajoutée des organismes de formation vise à rendre compte de l’apport propre de ces organismes sur le taux d’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi ayant suivi une formation dans ces établissements.
Les dépenses en faveur de l’emploi sont en légère hausse entre 2017 et 2019 (+0,7 % en euros constants), pour atteindre 144,1 milliards d’euros (soit 5,9 points de PIB).
60 % des entrants en contrat de sécurisation professionnelle (CSP) mi-2018 ont accédé à un emploi dans les 18 mois suivant leur adhésion au dispositif, contre 54 % de ceux qui en avaient bénéficié trois ans plus tôt.