Analyse économique des liens entre l’épargne salariale et les politiques de rémunération
- Le 15 novembre 2013
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Six mois après la fin de l’aide de l’État associée à leur contrat, 70 % des salariés sortis en 2011 d’un contrat aidé du secteur marchand sont en emploi (comme en 2010).
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de 0,2 % au 3e trimestre 2013 et de 1,6 % sur un an.
En 2011, 166 000 personnes ont été embauchées ou renouvelées dans une structure de l’insertion par l’activité économique (IAE), soit une hausse de 3,5 %, après 4,7 % en 2010.
Les sortants de 2008 sont un peu moins souvent en emploi que ceux de 2007, sauf dans le cas du CI-RMA.
Dans les entreprises de dix salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) augmente de +0,3 % au troisième trimestre 2010 et de +1,7 % sur un an.
L’activité économique a accéléré au 2e trimestre 2010 (+0,7 %, après +0,2 % au trimestre précédent).
Au premier semestre 1998, le ralentissement des salaires s’est poursuivi, mais la faiblesse des hausses des prix a permis de nouveaux gains de pouvoir d’achat.
La durée hebdomadaire effective du travail s’établit début octobre 1998 à 38,77 heures pour l’ensemble des salariés (38,83 heures pour les ouvriers et 38,74 heures pour les non-ouvriers) en données brutes, contre 38,88 heures en octobre 1997.
En 1998, quatre enquêtes simultanées auprès des établissements utilisateurs de dispositifs de la politique de l’emploi permettent de mieux cerner les logiques d’utilisation de l’apprentissage, du contrat de qualification, du contrat initiative emploi et de l’exonération pour l’embauche d’un premier salarié.