La négociation salariale d'entreprise de 2004 à 2010
- 2 septembre 2014
- Dares Analyses N°067
En 2010, les discussions ou négociations salariales ont concerné un peu plus de la moitié des établissements de 20 salariés ou plus.
9 résultats
En 2010, les discussions ou négociations salariales ont concerné un peu plus de la moitié des établissements de 20 salariés ou plus.
Dans les établissements de 1 salarié ou plus de France métropolitaine, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, est de 50,2 % en 2011.
Au quatrième trimestre 2011, le taux de rotation de la main-d’œuvre, moyenne des taux d’entrée et de sortie, reste stable dans les établissements de 10 salariés ou plus, à 12,8 %.
La négociation s’est fortement développée dans les entreprises au cours de la dernière décennie : de la réduction du temps de travail à l’épargne salariale, les discussions entre représentants de la direction et représentants du personnel se sont multipliées.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.
Au cours du premier trimestre 1994, le taux d'entrée dans les établissements de 50 salariés et plus, est de 6,5 % (en données corrigées des variations saisonnières), contre 6,6 %, le trimestre précédent.
En 1993, comme en 1992, les établissements de 10 salariés et plus du secteur privé perdent des emplois.
Au cours du troisième trimestre 1993, l'évolution de l'emploi dans les grands établissements semble moins dégradée que durant les deux trimestres précédents.
En 1992, les établissements ayant fréquemment recours aux contrats à durée déterminée sont moins exposés aux licenciements économiques que les autres.