Le dialogue social dans les très petites entreprises en 2018
- 24 septembre 2020
- Dares Résultats N°030
Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
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Les très petites entreprises, de moins de 10 salariés, (TPE) emploient 19 % des salariés du secteur privé non agricole au 31 décembre 2018.
Fin juin 2020, 17,1 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 82,9 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
Parmi les motifs de rupture de CDI, les fins de période d’essai réagissent très rapidement à la situation sanitaire et à la mise en place du confinement.
5 656 600 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs) au 1er trimestre 2020, en France métropolitaine.
Tous secteurs confondus, en 2019, 19 % des CDI sont rompus durant la période d’essai. Ce motif de rupture est moins fréquent dans l’industrie et la construction (respectivement 12% et 13% des fins de CDI) que dans le tertiaire (20%).
La prise en compte de l’intérim met en évidence un recours aux contrats temporaires assez homogène entre les principaux secteurs d’activité. En 2019, leur part dans les embauches y compris intérim est comprise entre 90% et 95% dans une très grande majorité d’entre eux.
Au 4e trimestre 2019, en France métropolitaine, 6 121 600 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), marquant ainsi une nouvelle baisse (‑0,8 %, après ‑1,0 % au trimestre précédent).
Au deuxième trimestre 2006, 84,6 % des salariés des entreprises de 10 salariés ou plus travaillent à temps complet.
La négociation s’est fortement développée dans les entreprises au cours de la dernière décennie : de la réduction du temps de travail à l’épargne salariale, les discussions entre représentants de la direction et représentants du personnel se sont multipliées.
Signe d’une meilleure conjoncture, au troisième trimestre 2005, la rotation de la main-d’œuvre hors intérim progresse à nouveau très légèrement pour le deuxième trimestre consécutif.