L'emploi intérimaire au 2e trimestre 2005
- 15 novembre 2005
- Dares Indicateurs N°46.1
À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
22 résultats
À la fin du deuxième trimestre 2005, 592 000 salariés sont intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+0,5 %).
La construction d’un véritable droit à la mobilité professionnelle attaché à l’individu reste aujourd’hui embryonnaire.
La négociation de branche se place sur le terrain de la définition de politiques, il s‘agit là d’un phénomène, sinon nouveau, du moins en développement.
Les missions locales et les Permanences d’Accueil, d’information et d’orientation (PAIO) ont été créées dans les années quatre-vingt pour lutter contre le chômage des jeunes et faciliter leur insertion sociale et professionnelle.
Au quatrième trimestre 2004, la rotation de la main-d’œuvre progresse à nouveau dans les établissements d’au moins 10 salariés.
Fin 2004, plus de 130 accords de branche avaient été signés en application de la ont souhaité laisser de larges options ouvertes, le champ d’intervention de la négociation a cependant été élargi.
Accompagner les demandeurs d’emploi demeure l’axe prioritaire du contrat de progrès signé entre l’État et l’Anpe. Objectif : les prémunir contre le chômage de longue durée et les conduire à l’emploi.
Depuis juillet 2001, le projet d’action personnalisé a considérablement renforcé l’accompagnement des demandeurs d’emploi.
À la fin du premier trimestre 2005, on dénombre 590 000 intérimaires, soit 3 000 de plus qu’au trimestre précédent (+ 0,4 %).
En 2002, année de ralentissement conjoncturel, le turnover diminue dans les établissements de 10 salariés ou plus.