Les élections aux comités d'entreprise en 1999
- 10 décembre 2001
- Dares Analyses N°49.1
Le recul des listes de non-syndiqués: . entamé au début des années 1990 s'accélère avec une perte de 3,5points entre 1997 et 1999.
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Le recul des listes de non-syndiqués: . entamé au début des années 1990 s'accélère avec une perte de 3,5points entre 1997 et 1999.
La représentation collective du personnel n’est pas une règle générale dans les établissements d'au moins 10 salariés, puisqu’en 1999 plus de la moitié d’entre eux, qui emploient près d’un salarié sur cinq, ne sont couverts par aucune institution représentative.
Dans un contexte de baisse de du chômage, l’enveloppe financière affectée aux contrats emploi-solidarité (CES) a diminué tandis que celle des contrats emplois consolidés (CEC) augmentait pour offrir une insertion plus durable aux plus exclus.
Au regard de leur forte présence, en légère mais constante progression depuis 1997, parmi les demandeurs d'emploi, les femmes sont sous-représentées à l'entrée dans l'ensemble des dispositifs ciblés de la politique de l'emploi.
En mars 2000, plus d’un an après la fin de leur contrat emploi consolidé (CEC), 56 % des bénéficiaires déclarent occuper un emploi et 26 % être au chômage.
Grâce à la forte augmentation du nombre des jeunes quinquagénaires (50-54 ans) et à l’arrivée aux âges élèves de génération de femmes plus actives que dans le passé, le taux d’emploi des 50-59 ans augmente de 6 points entre 1990 et 2000.
En repli par rapport aux trimestres passés, la création d’emplois demeure élevée au deuxième trimestre 2001 (+65 000).
Le maintien d’une conjoncture économique favorable en 2000 s’est traduit par un nouveau recul du recours au chômage partiel.
138 000 contrats initiative emploi (CIE) ont été signés en 2000 en France métropolitaine, contre 160 000 en 1999 et 200 000 en 1998.
En 1999, la dépense pour la formation professionnelle s’élève à 144,7 milliards de francs, soit un doublement depuis 1987.