Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre sur le dialogue social en entreprise
- 26 avril 2024
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
1155 résultats
Cette enquête permet de décrire l’activité de négociation et les conflits dans les entreprises.
En 2018, 16 % des travailleurs, soit 4,3 millions d’individus, perçoivent un revenu d’activité inférieur à 60 % du revenu d’activité médian de l’ensemble des travailleurs, soit moins de 1097 euros mensuels nets.
En 2022, 2,4 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (employant 25 % des salariés de ce champ) connaissent un ou plusieurs arrêts collectifs de travail. Cette proportion augmente nettement, de 0,8 point, par rapport à 2021.
Au 4e trimestre 2023, 230 400 licenciements ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture, intérim et particuliers employeurs (−4,5 % par rapport au trimestre précédent), dont 21 300 licenciements pour motif économique (+0,2 %) et 209 200 licenciements pour un motif autre qu’économique (−5,0 %).
Au 4e trimestre 2023, 129 100 ruptures conventionnelles ont lieu en France métropolitaine sur le champ privé hors agriculture et particuliers employeurs (−0,4 % par rapport au trimestre précédent).
L'enquête Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre (Acemo) permet notamment de calculer les évolutions des salaires.
Dans 58,4 % des entreprises du secteur privé non agricole engageant au moins une négociation collective en 2021, au moins un membre du CSE y participe.
En France, depuis deux siècles environ, les gouvernements successifs jouent un rôle crucial dans la mise en place d’infrastructures permettant de mettre en relation des demandeurs d’emploi avec des postes. Retraçant cette histoire, l’article rend également compte des catégories et des cadres idéologiques mobilisés par les pouvoirs publics pour mettre en œuvre un tel appariement.
En moyenne entre 2014 et 2020, au cours des quatre premières années à l’issue des études, le taux d’emploi des personnes sorties à 16 ans ou moins du système scolaire croît nettement plus lentement que celui des sortants à partir de 17 ans.
Si la plupart des jeunes commencent leur carrière professionnelle après avoir terminé leurs études, une partie l’a amorcée avant, en cumulant emploi et études.