La pénibilité au travail dans les professions de l’économie verte
- 4 juillet 2023
- Revue Travail et Emploi
Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
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Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
Les compétences nécessaires à la réussite de la transition écologique seront-elles disponibles ? La 2e conférence des métiers proposait également un focus sur la rénovation énergétique des bâtiments. Regardez le replay !
En moyenne en 2017, 11 % des salariés, soit 2,7 millions de personnes, sont exposés à au moins un produit chimique cancérogène.
Les expositions aux gaz d’échappement diesel restent depuis 2003 celles qui touchent le plus grand nombre de salariés. Les expositions à la silice cristalline et à l’amiante, parmi les plus dangereuses, sont toujours présentes. Le formaldéhyde est quant à lui utilisé dans de nombreux secteurs.
En 2021, 17,8 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective, soit 1,2 point de plus qu’en 2020.
17,8 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole ont engagé une négociation collective en 2021 (+1,2 point sur un an).
Une datavisualisation pour connaître les postes à pourvoir par métier, au niveau national et dans chacune des régions, ainsi que la dynamique d'emploi par secteur d'activité, d'ici à 2030.
Les effets de la transition écologique sur le niveau agrégé d’emploi seront relativement faibles. Toutefois, la transition devrait s’accompagner d’une réallocation relativement importante de la main-d’œuvre à la fois entre secteurs et au sein des secteurs clés de la transition.
L’enquête visait à décrire les conséquences concrètes de la crise sanitaire sur le vécu du travail pendant la crise sanitaire Covid-19 (2022).
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».