Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
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En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
En 2019, 10,3 % des salariés déclarent adhérer à un syndicat, 11,0 % des hommes et 9,5 % des femmes, en France (hors Mayotte).
Au 1er janvier 2021, le Smic brut horaire augmente de 1,0 %. 2,04 millions de salariés du secteur privé bénéficient directement de cette revalorisation, soit 12,0 % des salariés, après 13,0 % un an plus tôt.
En octobre, le recours au chômage partiel diminue : 400 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois d’octobre (soit 2 % des salariés du privé).
Avec la crise, le nombre d’accords de performance collective (APC) augmente nettement. Cette hausse repose sur les unités (entreprises, groupes,...) aguerries au dialogue social. Les accords s’adaptent à l’urgence de la crise sanitaire et se démarquent de ceux conclus auparavant.
Conformément à la loi du 3 décembre 2008, le nouveau groupe d’experts indépendants nommé en mai 2013 livre ici son analyse du salaire minimum interprofessionnel de croissance (SMIC) et son avis sur son évolution.
Le recours au chômage partiel se stabilise en septembre : 520 000 salariés auraient effectivement été en activité partielle au cours du mois (soit 3 % des salariés du privé).
En 2019, 2,5 % des entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé non agricole (représentant 25 % des salariés) ont connu un ou plusieurs arrêts collectifs de travail.
Huit rapports d'études pour mieux comprendre des conséquences de la crise sur le développement des compétences, le système et le marché de la formation professionnelle ainsi que sur le modèle pédagogique et les pratiques des organismes de formation.
L'Association de recherche et d'échanges en anthropologie et sociologie (Areas) a conduit un travail d’investigation sociologique auprès de MFR, qui dispensent des formations professionnelles continues, dans le domaine du “care”- secteur particulièrement impacté.