Licenciements de salariés protégés de 2001 à 2003 : le motif économique prédominant, toujours et encore
- 19 septembre 2005
- Dares Analyses N°38.3
Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
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Le motif le plus souvent invoqué est le motif économique.
Pour promouvoir l’emploi des travailleurs âgés, les pays d’Europe du Nord ont mis en place des dispositifs qui influent sur les pratiques des entreprises.
Depuis 15 ans, la mixité professionnelle a progressé au sein des entreprises industrielles qui ont intégré des femmes sur des postes traditionnellement masculins.
En 2004, 29 400 personnes sont entrées dans des dispositifs publics d’accompagnement des restructurations,soit une augmentation de 12 % par rapport à 2003.
En 2003, les conditions d’accès aux dispositifs de préretraites ont été durcies avec la réforme des retraites et les objectifs du plan national d’action pour l’emploi qui visent à favoriser le maintien des plus âgés sur le marché du travail.
Entre 1990 et 2002, la part des femmes dans les entrées en mesures est restée relativement stable, oscillant d’environ deux points autour de la parité.
L’étude a été réalisée sur la base d’une enquête menée dans une dizaine d’entreprises alsaciennes, en majorité industrielles, qui avaient déjà été observées à deux ou trois reprises depuis 1990 par l’équipe du centre associé au Céreq de Strasbourg.
La présente étude dresse un panorama de ces dispositifs, à partir des exemples de six pays européens : Finlande, Suède, Danemark, Pays-Bas, Allemagne et Royaume-Uni.
Plus du quart des personnes de 50 à 59 ans étaient sorties prématurément de l’emploi en mars 2002.
La proportion de seniors en emploi reste plus faible en France que dans beaucoup d’autres pays européens.