Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en octobre 2020
- 25 novembre 2020
- Covid-19
En octobre, l’activité recule légèrement, pour la première fois depuis la reprise.
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En octobre, l’activité recule légèrement, pour la première fois depuis la reprise.
En 2018, 18 % des salariés du secteur privé travaillent à temps partiel. 78 % d’entre eux sont des femmes et 91 % travaillent dans des activités tertiaires.
Selma Mahfouz, directrice de la Dares, a ouvert le Printemps de l’économie 2019 et a commenté les résultats du sondage OpinionWay sur les Français et le travail en 2030. Découvrez l’événement en replay !
Entre avril 2018 et mars 2019, un peu plus d’1 million de personnes ont eu au moins un contrat saisonnier en France (hors Mayotte).
Quels facteurs ont contribué à la diminution du temps de travail ? La Dares a apporté son expertise à la publication « France, portrait social » (Insee Références, 2019), qui propose un éclairage sur 40 ans d’évolutions de la société française.
La ségrégation professionnelle entre les femmes et les hommes et la concentration du temps partiel dans les métiers féminisés questionnent sur les rôles respectifs des facteurs liés à la demande et à l’offre de travail.
À la fin du 1er trimestre 2019, on dénombre 795 100 intérimaires en France, ce qui représente 3,1 % de l’ensemble des salariés.
Les Notes de la MAR donnent la parole à Sandra Nevoux, jeune docteure en sciences économiques qui a réalisé une thèse sur l’évaluation du dispositif d’activité partielle en France.
Les demandeurs d’emploi qui exercent une activité rémunérée parallèlement à leur recherche d’emploi sont de plus en plus nombreux : ils étaient en moyenne 1,7 million chaque mois en 2014.
En moyenne de 2013 à 2015, parmi les 2,4 millions de jeunes âgés de 18 à 29 ans qui suivent des études dans l’enseignement supérieur, près de 23 % sont actifs au sens du Bureau international du travail (BIT).