Les compétences au service des personnes en recherche d'emploi
- Le 18 décembre 2019
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Elles ont augmenté de 3,4 % en euros constants par rapport à 2016 dans un contexte de croissance économique forte (+2,2 %) et de hausse des créations d’emplois dans le secteur marchand (+55 % par rapport à 2016).
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
Les entreprises d’insertion se doivent de concilier deux logiques distinctes : porter un projet social, qui engendre des contraintes et des surcoûts, et assurer leur viabilité économique.
Les femmes ont quatre fois plus de chances de connaître une insertion en CDI à temps partiel à l’issue de l’IAE.
Fin 2017, le secteur de l’insertion par l’activité économique (IAE) comptait un peu plus de 136 000 salariés en insertion, un nombre en hausse de 3 % par rapport à 2016.
En 1991, 71 000 employeurs ont recruté un premier salarié en bénéficiant de l'exonération totale de cotisations patronales de sécurité sociale contre 62 000 l'année précédente.
A la fin du deuxième trimestre 1991, 308 entreprises d'insertion étaient en activité, avec une moyenne de 11 salariés recrutés sous un " statut d'insertion ". Ces nombres sont en augmentation de 20 % par rapport à 1990.
Près de 230 000 jeunes ont bénéficié, en 1991, d'un contrat de formation en alternance : contrat de qualification, contrat d'adaptation ou stage d'initiation à la vie professionnelle.
Onze ans après l'enquête de D. Schnapper sur le vécu des chômeurs, le chômage demeure une " épreuve " d'autant plus difficile à vivre qu'il se prolonge. L'instauration du RMI, et le développement des mesures d'aide à l'insertion n'ont pas modifié ce constat.