Une analyse spatiale des mouvements de l’emploi et de la population en France
- 7 décembre 2020
- Revue Travail et Emploi
Cet article explore la complexité du lien entre la mobilité résidentielle et la croissance locale de l’emploi salarié privé.
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Cet article explore la complexité du lien entre la mobilité résidentielle et la croissance locale de l’emploi salarié privé.
Si sur l’ensemble du 2e trimestre 2020, les embauches chutent, leur profil au cours de ces trois mois est très lié aux phases de confinement puis de déconfinement.
3 070 500 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs) au 2e trimestre 2020, en France métropolitaine.
Parmi les motifs de rupture de CDI, les fins de période d’essai réagissent très rapidement à la situation sanitaire et à la mise en place du confinement.
5 656 600 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs) au 1er trimestre 2020, en France métropolitaine.
Tous secteurs confondus, en 2019, 19 % des CDI sont rompus durant la période d’essai. Ce motif de rupture est moins fréquent dans l’industrie et la construction (respectivement 12% et 13% des fins de CDI) que dans le tertiaire (20%).
La prise en compte de l’intérim met en évidence un recours aux contrats temporaires assez homogène entre les principaux secteurs d’activité. En 2019, leur part dans les embauches y compris intérim est comprise entre 90% et 95% dans une très grande majorité d’entre eux.
Au 4e trimestre 2019, en France métropolitaine, 6 121 600 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé (hors agriculture, intérim et particuliers employeurs), marquant ainsi une nouvelle baisse (‑0,8 %, après ‑1,0 % au trimestre précédent).
Au cours du troisième trimestre 1997, l'emploi salarié a progressé au même rythme qu'au trimestre précédent : + 32 000 emplois après + 31 000 au second trimestre (soit + 1 % en rythme annuel). L'amélioration qui s'est amorcée à l'automne 1996 se confirme mais ne s'accélère pas.
L'amélioration de l'emploi qui se dessine en fin d'année 1996 est portée par une forte poussée des embauches dans le secteur tertiaire, amorcée dès le troisième trimestre et confirmée au quatrième trimestre dans les établissements plus grands.