Les mouvements de main-d'œuvre au second semestre 2000
- 11 novembre 2001
- Dares Indicateurs N°46.2
À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
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À la fin 2000, les mouvements de main d’œuvre ont atteint une intensité record, du fait de la persistance de la croissance économique.
En 1999, deux embauches sur trois ont été réalisées sous forme de contrats à durée déterminée (CDD).
Depuis le lancement du programme, plus de 285 000 jeunes ont été embauchés.
La reprise de l’emploi s’est traduite par une forte progression des embauches, bénéfique pour les jeunes les plus récemment sortis de l’école.
Au premier semestre 2000, la croissance de l’emploi dans les établissements de 10 salariés ou plus est encore vive.
La transition entre l'école et l'activité professionnelle s'effectue principalement entre 16 et 25 ans : alors qu'à 15 ans, tous les jeunes sont encore scolarisés, à 26 ans, on compte en mars 1997 plus de 85 % d'actifs et moins de 5 % d'élèves ou d'étudiants.
L'amélioration de l'emploi qui se dessine en fin d'année 1996 est portée par une forte poussée des embauches dans le secteur tertiaire, amorcée dès le troisième trimestre et confirmée au quatrième trimestre dans les établissements plus grands.
Les salariés des associations intermédiaires sont le plus souvent des femmes, relativement jeunes et d'un niveau de formation peu élevé. Avant leur entrée dans une association, la plupart connaissent une situation d'emploi précaire ou un passage par le chômage.
Dans une période où la conjoncture économique a été difficile à discerner, le rythme des embauches (en CDI ou CDD) est resté stable, tandis que les sorties se sont amplifiées au second trimestre du fait de la poussée des fins de CDD dans le secteur tertiaire.
En 1995, 5 000 organismes, soit un organisme de formation continue sur cinq, ont dispensé des formations à des jeunes sous contrat d'alternance (contrat de qualification, d'adaptation ou d'orientation).