Formation employeur - annuelle (2023)
- 4 avril 2024
Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
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Vous avez reçu une lettre ou un mail vous invitant à répondre à un questionnaire en ligne sur vos pratiques de formation ?
Le nombre de salariés concernés augmente progressivement jusqu’en avril 2021, où il atteint 271 000, mais représente alors une part marginale de l’activité partielle (10 %).
Alors que l’État a fortement encouragé et financé l’articulation entre chômage partiel et formation pendant la crise sanitaire, seule une minorité de salariés placés en activité partielle a suivi une formation en 2020.
En 2022, 36 % des personnes qui travaillent ont un motif d’insatisfaction vis-à-vis de leur emploi : soit elles souhaitent en changer, soit elles voudraient modifier leur durée de travail, soit elles sont en contrat temporaire sans l’avoir choisi.
À l'occasion de ses 30 ans, la Dares a convié chercheurs et partenaires à repenser les grandes transformations du marché du travail et esquisser des perspectives. Consultez le replay des échanges !
Entre janvier 2021 et juin 2022, le nombre de salariés placés en activité partielle recule fortement même s’il reste, mi-2022, supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.
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Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
La présente étude analyse 74 conditions de travail des femmes et des hommes salariés issus de 88 professions. Elle rend compte de la plus forte exposition des hommes à la pénibilité physique et des femmes aux risques psychosociaux.