Conditions de travail et précarité dans l'emploi
- 8 juillet 2009
- Dares Analyses N°28.2
Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
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Les CDI craignant de perdre leur emploi cumulent de nombreux risques dans leur travail.
Si 37 % des salariés ont des horaires « normaux », près de deux salariés sur trois travaillent selon des horaires que l’on qualifie habituellement « d’atypiques ».
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Plus d’un million de jeunes de 16 à 25 ans ont été accueillis en 2004, dont plus de 440 000 pour la première fois.
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée ou à temps partiel et à des contrats aidés par l’État que leurs homologues de 10 salariés ou plus.
Près de 360 000 jeunes sont passés par le programme « Nouveaux services-Emplois jeunes » entre octobre 1997 et fin décembre 2001.
Près de quatre ans après la mise en place du programme « Nouveaux services - Emplois jeunes 80 % des employeurs déclarent s'être engagés dans un processus de formation des jeunes salariés en place.
Un jeune bénéficiaire du dispositif Trajet d'Accès à l'Emploi (TRACE) sur deux accède à un emploi.
Les seniors français sont plus actifs professionnellement qu'il y a dix ans : leur taux d'activité a gagné plus de sept points entre 1991 et 2001.
Entre mars 1997 et mars 2001, la part des chômeurs parmi les jeunes de 15 à 29 ans s'est fortement réduite, de un sur dix à un sur quatorze.