Évaluation de programmes et dispositifs visant l’intégration professionnelle des réfugiés
- Du 17 février 2020 au 16 octobre 2020
11 résultats
En 2012, dans un contexte de croissance économique très faible, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage s’est élevée à 32 milliards d’euros.
Les entreprises de 1 à 9 salariés (très petites entreprises ou TPE) regroupent près de 20 % de l’emploi salarié concurrentiel, hors agriculture et hors intérimaires et stagiaires.
En 2006, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur concurrentiel et des hôpitaux publics, 96 % des salariés sont de nationalité française.
À métier et secteur d’activité comparable, les salariés immigrés, et plus particulièrement les étrangers, ont des conditions de travail spécifiques. Les immigrés sont davantage exposés à des postures « pénibles ou fatigantes à la longue ».
Les très petites entreprises (TPE) recourent davantage à des formes d’emploi à durée limitée, temps partiel ou à des contrats aidés par l’État que les entreprises de 10 salariés ou plus.
Avec une baisse de 12 % en 2002, les entrées en contrat de qualification, d'adaptation et d'orientation reculent pour la deuxième année consécutive.
Le nombre d'entrées de demandeurs d'emploi en formations financées par l'État continue de baisser en 2002.
Les entrées dans le programme « nouveaux services-emplois jeunes » et dans les dispositifs de formation en alternance se sont nettement ralenties en 2001.
Environ 780 000 jeunes sortent du système éducatif chaque année depuis 1997. Ce nombre important de sortants est lié à l'arrêt de l'allongement des études.