Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en avril 2021
- 31 mai 2021
- Covid-19
2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
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2,7 millions de salariés en activité partielle en avril 2021, soit une hausse de 13 % sur un mois.
Boulangers, aides à domicile, conducteurs, caissiers... 4,6 millions de salariés du secteur privé ont encouru un risque de contamination durant la crise sanitaire en continuant d’apporter à la population les services indispensables à la vie quotidienne.
En France, hors professions médicales, ce sont 4,6 millions de salariés du secteur privé, appartenant à 17 professions, qui ont continué à travailler sur site durant la crise sanitaire pour continuer à apporter les services indispensables à la vie quotidienne.
Dès le 2e trimestre 2020, les embauches en CDD en Île-de-France reculent davantage que dans les autres régions : elles chutent de -59,5 % sur un an, contre -47,1 % dans le Nord de la France ou encore -44,9 % dans le Sud-Ouest.
4 658 200 contrats de travail ont été signés dans le secteur privé au 4e trimestre 2020 en France métropolitaine.
2,3 millions de salariés en activité partielle en mars, dont 11 % au titre de l’activité partielle de longue durée (APLD). Cette vue d’ensemble comprend un encadré sur le dispositif de l'APLD.
Au troisième trimestre 2009, le taux de rotation, défini comme la moyenne des taux d’entrée et de sortie, s’infléchit légèrement à 10,3 %, après 10,5 % au deuxième trimestre 2009.
Les lois en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat (Tepa) et pour le pouvoir d’achat (Pa) de 2007 et 2008 ont mis en place des dispositifs incitatifs visant à agir sur les comportements d’usage des heures supplémentaires et complémentaires et des jours de congés.
Après un net infléchissement au cours de l’année 2008, le taux de rotation, défini comme la moyenne des taux d’entrée et de sortie, a continué à diminuer légèrement au premier trimestre de 2009 avant de se redresser au deuxième trimestre.
Cette enquête visait à appréhender la perception par les salariés des dispositifs d’allongement du temps de travail tels que le recours aux heures supplémentaires ou complémentaires et les pratiques de rachat des jours de congés.