La pénibilité au travail dans les professions de l’économie verte
- 4 juillet 2023
- Revue Travail et Emploi
Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
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Les professions relevant de l'économie verte sont aujourd’hui associées à de plus fortes expositions aux facteurs de pénibilité que les autres.
En janvier 2021, parmi les personnes ayant travaillé au moins une semaine depuis le début de la pandémie en mars 2020, 96 % ont conservé leur emploi : 93 % continuent de travailler tandis que 3 % ne travaillent pas du tout et sont en « activité partielle ».
Les personnes d’origine maghrébine sont moins souvent recontactées par les recruteurs, elles connaissent un risque de chômage plus fort et elles déclarent plus souvent qu'un emploi leur a été injustement refusé.
En France, en 2019, 37 % des salariés ne se sentent pas capables de tenir dans leur travail jusqu’à la retraite. L’exposition à des risques professionnels – physiques ou psychosociaux –, tout comme un état de santé altéré, vont de pair avec un sentiment accru d'insoutenabillité du travail.
Ce sont plus souvent les établissements de taille moyenne (20 à 199 salariés) qui sont preneurs d'ordres.
L’enquête Emplois francs vise à collecter des informations sur le recours des établissements à ce dispositif. Elle permettra de compléter les premiers travaux d’évaluation publiés en 2019.
En 2016, 67,6 % des salariés déclarent que leur position professionnelle correspond bien à leur formation.
En 2013, 2 % des établissements du secteur privé déclarent que plus de la moitié de leurs salariés sont exposés au travail de nuit, et 16,3 % que plus de la moitié de leurs salariés sont exposés à au moins un risque physique.
Plus d’un tiers des personnes de 50 à 59 ans déclarent avoir été exposées au moins quinze ans à une pénibilité physique.