Activité et conditions d’emploi de la main-d’œuvre pendant la crise sanitaire Covid-19 en novembre 2021
- 23 décembre 2021
- Covid-19
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
10 résultats
En novembre, 380 000 salariés bénéficieraient de l’activité partielle, soit quasiment autant qu’en octobre.
Fin septembre 2021, 16,7 % des salariés du privé travaillent à temps partiel et 83,3 % travaillent à temps complet dans les entreprises de 10 salariés ou plus, hors agriculture, particuliers employeurs et activités extraterritoriales.
2,3 millions de salariés en activité partielle en mars, dont 11 % au titre de l’activité partielle de longue durée (APLD). Cette vue d’ensemble comprend un encadré sur le dispositif de l'APLD.
Dans les entreprises de 10 salariés ou plus de l’ensemble de l’économie hors agriculture et hors emplois publics, 84,5 % des salariés travaillent à temps complet au troisième trimestre 2009.
Portée à 28,4 milliards d’euros en 2007, la dépense nationale pour la formation professionnelle et l’apprentissage a progressé de 4,9 % par rapport à 2006.
Dans les entreprises ayant une durée collective du travail de 35 heures, le nombre moyen d’heures supplémentaires déclarées par salarié à temps complet était de 5,2 au 4ème trimestre 2007.
La durée hebdomadaire du travail est en légère hausse par rapport au début du troisième trimestre 1994. Elle s'établit, en moyenne, à 38,97 heures pour l'ensemble des salariés, à 38,86 heures pour les non-ouvriers et à 39,08 heures pour les ouvriers.
En octobre 1993, les salariés des établissements de 10 salariés ou moins ont travaillé 0,6 heure de plus en moyenne et gagné près de 8 % de moins que les salariés des établissements de plus de 10 salariés.
Ce numéro présente de manière rétrospective les évolutions de la durée hebdomadaire du travail et de l'indice des salaires mensuels des salariés ainsi que de l'indice du taux de salaire horaire des ouvriers depuis janvier 1990. Il est complété par un résumé méthodologique.
La dépense pour l'emploi est estimée pour 1993 à 289 milliards de francs, soit une progression de 8 % en francs constants, la plus forte enregistrée depuis dix ans. Les dépense d'indemnisation du chômage en hausse de 5 % en représentent 43 %.