Les contrats aidés en 2022
- 14 février 2024
- Dares Résultats N° 14
La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
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La baisse est plus marquée pour les jeunes (-40 %), même si ceux-ci restent, en 2022, les principaux bénéficiaires de ces dispositifs.
9 jeunes sortants de la voie professionnelle sur 10 sont exposés à au moins un risque physique ou chimique sur leur poste de travail, et 6 sur 10 à trois de ces risques ou plus, en 2017.
En 2022, 77 % des employeurs déclarent qu’ils auraient embauché la même personne sans l’aide.
La question des effets d’aubaine des contrats aidés est récurrente : même en absence d’aide à l’embauche, une partie des contrats aidés auraient été signés par les structures qui y souscrivent.
Destinés en partie à favoriser la création d’emplois, les contrats aidés se heurtent potentiellement à des effets d’aubaine qui limitent leurs effets sur l’emploi.
En 2022, les entrées en emploi franc ralentissent légèrement pour la première fois depuis la mise en place du dispositif, avec 26 400 demandes acceptées pour des salariés résidant en quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV).
En 2021, dans un contexte économique encore marqué par la crise sanitaire, 610 plans de sauvegarde de l’emploi (PSE) sont mis en oeuvre.
La situation des jeunes s’est particulièrement dégradée dès les premiers mois de la crise sanitaire. La mise en place d’un grand nombre de mesures, dont celle de l’AEJ, a pu contribuer à améliorer les perspectives d’insertion des jeunes sur le marché du travail.
47 % des personnes sorties d’un contrat aidé non marchand (hors accompagnants d’élève en situation de handicap) en 2020 déclarent occuper un emploi six mois plus tard.
Au 3e trimestre 2022, la productivité du travail par tête des branches marchandes non-agricoles se situe 6,4 % en deçà de sa tendance prévalant avant la crise sanitaire liée au Covid-19.