La garantie jeunes : quels jeunes et quel bilan après cinq ans ?
- 17 avril 2019
- Dares Analyses N°018
29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
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29 % des bénéficiaires sont en emploi 8 mois après l’entrée en dispositif, 41 % au bout de 19 mois.
En 2018, le taux d’activité des personnes âgées de 55 à 64 ans est de 56,0 % : 52,1 % sont en emploi et 3,8 % au chômage, soit un taux de chômage (par rapport aux actifs) de 6,9 %.
Du milieu des années soixante-dix jusqu’à ces dernières années quatre-vingt-dix, la croissance du PIB en France a été non seulement ralentie mais également marquée par d’importantes fluctuations conjoncturelles.
Au cours de l’année 1998, 78 800 personnes ont adhéré à un dispositif de préretraite et, au 31 décembre, l’UNEDIC dénombrait 220 000 allocataires indemnisés au titre de l’ASFNE, de la préretraite progressive ou de l’Allocation de Remplacement Pour l’Emploi (ARPE).
Après deux années de recul, les entrées dans les dispositifs spécifiques de la politique de l’emploi se stabilisent à 2,3 millions en 1998.
En 1997, alors que les conditions de travail et d’emploi des hommes et des femmes restent très différentes – les femmes sont surreprésentées dans les activités tertiaires relationnelles.
En 1995, dans la population salariée, en milieu ou fin de vie active, les « troubles du sommeil » (difficultés pour s’endormir, éveils précoces, prise de somnifères, etc.) sont assez répondus.
En 1998, les employeurs utilisateurs du programme « nouveaux services-emplois jeunes » déclarent ne pas avoir rencontré de difficultés majeures à faire accepter leur projet par les services instructeurs, ou lors des recrutements.
Applicable dès octobre 1997, le programme « nouveaux services-emplois jeunes » a connu, après une phase d’élaboration des projets, une montée en charge rapide à partir de la mi-1998.
Dès 1997, la première année de mise en œuvre du programme « Nouveaux Services-Emplois Jeunes » a été largement consacrée à la construction des partenariats locaux, aux campagnes d’information, au soutien aux porteurs de projet et à l’élaboration d’une doctrine pour l’instruction des dossiers.